Ils peuvent intervenir aux différentes étapes de développement d’un projet.
En amont du projet, la simulation peut aider à la formulation d’idées mais également à renforcer l’étude d’opportunité et de faisabilité en contribuant à l’enrichissement du cahier des charges.
Par exemple, l’usage d’un espace immersif couplé à une méthode (RULA) et à un outil de mesure des contraintes posturales (capteurs) permettra d’analyser plus finement les problématiques existantes au sein d’un atelier (existant ou non) ou dans une configuration particulière (lors d’un pic d’activité).
Lors de la réalisation du projet, ces outils peuvent être utilisés pour tester et analyser plusieurs configurations d’utilisation et envisager les conditions d’organisation nécessaires ou à mettre en place. Ce travail peut se faire à différentes échelles : un poste de travail, une ligne de production, un atelier, un service…
A ce stade, le recours à la simulation vise à aider à la décision et permet de valider les choix d’investissements, d’agencement, d’organisation. Lorsque le projet est mis en place, les ressources de la démarche de simulation permettent de présenter le projet, de former des opérateurs ou encore d’accompagner la réalisation de certains ajustements, voire de certaines corrections.